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25/03/2012 : "LUEURS SCEPTIQUES" 24/03/2012 : Épisode #152: L'analyse de la photo de Petit-Rechain de Thierry Veyt 24/03/2012 : Cheminade, LaRouche et leurs amis vus par le Petit Journal 23/03/2012 : Haut Conseil des biotechnologies : l'expertise instrumentalisée 22/03/2012 : Nouveau record du monde de probabilités 20/03/2012 : Tuerie de Toulouse : Poutou n’écarte pas une tentative de ''diversion'' 20/03/2012 : De l'art d'avancer masqué 20/03/2012 : Fukushima : les conséquences environnementales 19/03/2012 : À propos de la brève « Deux façons de servir la science » 18/03/2012 : Épisode #151: Psychologie anomalistique (2 – Les explications cognitives)
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"LUEURS SCEPTIQUES" 
By Scepticisme Scientifique, on 25/03/2012 at 15:00.
Comme je l'annonçais hier sur le balado (dans l'épisode #152), j'ai contribué à l'ouvrage "LUEURS SCEPTIQUES", disponible depuis peu sur Lulu (ici) (et prochainement via le site Amazon.fr) pour la modique somme de 18 euros (pour 422 pages).

Il s'agit du troisième dossier réalisé par l'équipe du forum Sceptic OVNI. Ce livre a trois auteurs: Robert Alessandri (que j'ai interviewé dans l'épisode #97), Patrice Seray (que j'ai interviewé entre autres dans l'épisode #16) et moi-même.

Ma partie revisite le sujet de l'émission radio d'Orson Welles La Guerre des Mondes, et se veut une réponse à l'ouvrage du sociologue Pierre Lagrange "La guerre des mondes a-t-elle eu lieu ?". Pour rappel, j'avais abordé ce sujet dans l'épisode #131 du balado. Le texte que je propose dans ce volume reprend les divers éléments de cette interview pour Podcast Science et les développe de manière plus académique.

Voici la présentation de l'ouvrage proposée sur la quatrième de couverture:
Lueurs sceptiques est le troisième opus que le forum de discussions et d'informations sur les OVNI, tendance sceptique, vient de publier. Les cas dits solides du 05 novembre 1990 sont ici décortiqués un à un par R. Alessandri, auteur principal de ce volume. J.- M. Abrassart revient sur la fameuse émission "La Guerre des Mondes", alors que P. Seray s'intéresse lui aux célèbres photos de Mc Minnville, mais aussi au témoignage troublant de cette soirée de 1972, près de Taizé. Un ouvrage riche en informations et vérifications de toute sorte.


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Épisode #152: L'analyse de la photo de Petit-Rechain de Thierry Veyt 
By Scepticisme Scientifique, on 24/03/2012 at 19:53.
L'Épisode #152: L'analyse de la photo de Petit-Rechain de Thierry Veyt du podcast "Scepticisme Scientifique - Le balado de la Science et de la Raison" est en ligne. Il s'agit d'une interview de Thierry Veyt.


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Cheminade, LaRouche et leurs amis vus par le Petit Journal 
By Conspiracy Watch, on 24/03/2012 at 12:37.
Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo
Le Petit Journal du 22/03 - Mais qui est donc Cheminade ?


Source : "Le Petit Journal", Canal +, 22 mars 2012.

Conspiracy Watch - Observatoire du conspirationnisme et des théories du complot
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Haut Conseil des biotechnologies : l'expertise instrumentalisée 
By AFIS, on 23/03/2012 at 12:44.
par Jean-Paul Krivine - SPS n° 300 Le Haut Conseil des biotechnologies (HCB) a été créé en 2008 dans la foulée du Grenelle de l'environnement, en remplacement des anciennes Commission du génie biomoléculaire et Commission de génie génétique. Mais une modification de taille a été opérée : le nouveau HCB a d'emblée intégré un « Comité économique, éthique et social » (CEES), à côté du « Comité scientifique » (CS), ce dernier reprenant peu ou prou les prérogatives des anciennes commissions techniques. Le ver est dans (...) Articles
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Nouveau record du monde de probabilités 
By AFIS, on 22/03/2012 at 21:15.
par Nicolas Gauvrit - SPS n° 298, octobre 2011 Le 3 juin dernier paraissait sur le site de Libération un article de Bernard Laponche et Benjamin Dessus au titre surprenant de « Accident nucléaire : une certitude statistique ». Les auteurs prétendent y démontrer que la probabilité d'un accident nucléaire grave ou majeur dans les années à venir pulvérise tout ce qu'un probabiliste pourra accepter... puisqu'elle dépasserait 100 %. Bernard Laponche est polytechnicien, physicien nucléaire, spécialiste en (...) Articles
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Tuerie de Toulouse : Poutou n’écarte pas une tentative de ''diversion'' 
By Conspiracy Watch, on 20/03/2012 at 20:26.
Tuerie de Toulouse : Poutou n’écarte pas une tentative de ''diversion''
Réagissant hier à la fusillade qui a pris pour cible le collège israélite Ozar Hatorah de Toulouse, Philippe Poutou a fait entendre une version très conspirationniste du drame.

Apparemment stupéfait par l'annonce de l'attentat, le candidat du Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) aux élections présidentielles a déclaré : « Ca a l’air d’être un fou mais ce n’est peut-être pas un hasard si ça arrive en pleine campagne. Il y a peut-être un calcul politique derrière pour faire diversion par rapport à la crise ».

Quelques heures plus tard, le NPA a publié un communiqué qualifiant le geste du tueur d'« acte ignoble et barbare qui suscite indignation et révolte » et exprimant sa « solidarité pleine et entière aux familles et aux proches des victimes », concluant par ces mots : « c'est le message que veut faire entendre le NPA ».

En 2002, le militant altermondialiste José Bové avait suggéré que les attaques visant des synagogues en France étaient organisées secrètement par le gouvernement israélien.

Conspiracy Watch - Observatoire du conspirationnisme et des théories du complot
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De l'art d'avancer masqué 
By Scepticisme Scientifique, on 20/03/2012 at 19:44.
Dans les milieux universitaires, la majorité de chercheurs en sciences humaines vous expliqueront qu'ils ne prendront pas part (en tout cas explicitement) au débat ontologique, c'est-à-dire qu'ils ne se positionneront pas sur la réalité ou la nature du paranormal. Citons quelques exemples puisés dans la littérature pour illustrer cette position.

Le psychiatre Daniel Mavrakis (2010, p. 7) nous dit au début de sa thèse de doctorat en médecine consacrée au phénomène ovni  :
Nous ne nous intéresserons dans cette thèse qu'aux implications psychiatriques du phénomène ainsi qu'aux aspects médicaux, psychologiques et sociologiques des réactions associées à leur évocation et à leur étude, sans aborder le problème de sa réalité en tant que phénomène physique. 
François P. Mathijsen (2009) argumente pour sa part dans un article consacré à l'épistémologie de l'étude des expériences inhabituelles :
Que les phénomènes concernés soient objectivement réels ou qu'ils ne soient que le résultat d'une induction subjective pathologique ou non ne change pas le fait que des gens croient ou affirment avoir vécu quelque chose pour les diverses raisons discutées plus haut. Au-delà de la véracité du phénomène, il y a la réalité de l'expérience humaine.
Même si je reconnais bien entendu tout l'intérêt d'étudier les expériences inhabituelles d'un point de vue purement phénoménologique, il me semble que bien trop souvent refuser de prendre part aux discussions de fond est tout simplement une solution de facilité, qui évite que l'on prenne des risques en se positionnant clairement.

On retrouve la même attitude dans le domaine de la psychologie de la religion, où le chercheur qui pourtant à bien entendu des convictions religieuses (ou « une absence de » s'il est agnostique ou athée) qui influencent ses recherches se dissimule pourtant derrière une neutralité d'apparence. Dans le contexte de l'étude scientifique des expériences inhabituelles, il me semble que bien souvent soit le chercheur en question n'est pas un tenant des hypothèses extraordinaires mais veut éviter de s'engager (par exemple parce qu'il n'a pas envie de se plonger sérieusement dans la littérature) ou alors il l'est mais préfère éviter de l'énoncer clairement.

La solution de facilité consiste à affirmer qu'on ne va pas prendre part au débat ontologique, puis ensuite à continuer à rédiger comme si de rien n'était, c'est-à-dire en argumentant malgré tout sur base de ses convictions en ce qui concerne la nature réelle du phénomène. On jouerait alors selon les règles du jeu du monde académique.

C'est par exemple la stratégie adoptée par Daniel Mavrakis dans sa thèse : il affirme au départ qu'il ne va pas prendre position, mais on trouve ensuite dans son texte des passages dans lesquels il critique les sceptiques, ou en tout cas la représentation qu'il s'en fait. Il écrit par exemple (Mavrakis, 2010, p. 117) :
Les scientifiques sont avant tout des hommes et les réactions s'appliquant au grand public les concernent aussi, même si dans l'idéal leur formation devrait leur apporter une plus grande ouverture d'esprit et un esprit critique plus aiguisé. En pratique, il n'en est pas toujours ainsi et donc un petit nombre de scientifiques ont adopté une attitude a priori très défavorable à l'existence physique des OVNI. Il s'agit là d'une véritable croyance négative et non d'une analyse raisonnée. 
Le psychiatre nous explique ici que les scientifiques qu'il décrit comme ayant une « attitude a priori très défavorable à l'existence physique des OVNI » ont selon lui une croyance négative et irrationnelle. Se faisant, il prend clairement position contre le modèle sociopsychologique défendu par les sceptiques et pour les explications extraordinaires.

Toujours dans la même ligne de pensée, Renaud Evrard (2005, p. 4) écrit dans son mémoire consacré à la psychologie clinique des phénomènes de hantise :
Il est nécessaire de se situer épistémologiquement avant tout exposé. Nécessaire, car la question première de mes amis, de mes pairs, et de la plupart des personnes à qui je présentais mon sujet, était celle-ci : « Est-ce que tu y crois ? » Faut-il croire en son sujet de mémoire ? Est-ce qu’il faut le porter comme une conviction implicite ayant un effet « placebo » sur la qualité de son traitement ? Inversement, ne pas croire en son sujet de mémoire, alors que l’on s’inscrit au plus franc de la démarche clinique, est-ce redevable d’un effet « nocebo » ? (...) La question de la croyance n’est pas à retirer de la science, bien au contraire. Mais ce n’est pas ici mon objet d’étude, j’ignore pourquoi je devrais alors me référer à des croyances, fussent-elles miennes, y retourner, y aboutir, ou nerveusement en subir la récurrence. La régression qu’on m’impose par la question sur ma croyance est celle d’un empêchement de l’étude, un obstacle pour l’épistémologie, et d’abord d'une résistance chez l’autre. La tâche de catégorisation défensive, il y croît ou il n’y croît pas, cherche à réduire les efforts déployés pour simplement poser une question.
Il tente d'argumenter dans ce passage – de manière quelque peu postmoderne – que la question des convictions du chercheur n'est pas réellement pertinente (parce qu'elle empêcherait selon lui prétendument l'étude), et serait dans le fond une manifestation d'une soi-disant résistance de la personne qui oserait la poser. Je suis sur ce point en désaccord avec Renaud Evrard. Expliciter ses convictions relève tout simplement de l'honnêteté intellectuelle que l'on est en droit d'attendre de tout chercheur.

Les intellectuels qui se dissimulent derrière une neutralité d'apparence, au nom du fait qu'ils ne veulent pas explicitement entrer dans le débat ontologique, choisissent d'avancer masqués. Le lecteur doit alors essayer de deviner derrière cette façade qu'elle est leur position théorique. Lorsqu'il s'agit de tenants d'explications extraordinaires, la raison est bien souvent parce qu'ils pensent (à tort ou à raison) que s'ils affirmaient clairement ce qu'ils pensent cela pourrait nuire à leur carrière académique.

Il est clair d'un point de vue épistémologique que les convictions des chercheurs – et ce quelque soit le domaine scientifique – influencent leurs travaux, non seulement leur discussion des résultats, mais aussi ces derniers. Il existe une ample littérature autour de l'effet de l'expérimentateur mis en évidence par Robert Rosenthal (1998). Robert Todd Carroll le définit de la manière suivante dans The Skeptic's Dictionary (Caroll, 2003) :
L'effet de l'expérimentateur est un terme utilisé pour décrire n'importe lequel parmi un certain nombre de subtils répliques ou signaux qui affectent la performance ou la réponse de sujets dans une expérience. Les répliques peuvent être inconscientes et non verbales telles qu'une tension musculaire ou des gestes. Elles peuvent être vocales telle que le son de la voix. La recherche a démontré que les attentes et les tendances d'un expérimentateur peuvent être communiquées aux sujets expérimentaux de façons subtiles et non-intentionnelles et que ces répliques peuvent affecter significativement les résultats d'une expérience.
Certains parapsychologues vont plus loin et postulent même l'existence d'un effet de l'expérimentateur de type psi, qui fait que les sceptiques inhiberaient les manifestations authentiquement paranormales tandis que les tenants les faciliteraient. Lorsque l'on prend en considération ces divers éléments, il me semble extrêmement important que les chercheurs explicitent clairement leurs convictions.

Références:

- Caroll, R. T. (2003). The Skeptic's Dictionary : A Collection of Strange Beliefs, Amusing Deceptions, and Dangerous Delusions. Hoboken : Wiley.
- Evrard, R. (2005). Approches psychologiques de la personne hantée. Mémoire de maîtrise en psychologie. Strasbourg : Université Louis Pasteur.
- Mathijsen, F. P. (2009). Empirical Research and Paranormal Beliefs: Going Beyond the Epistemological Debate in Favour of the Individual. Archive for the Psychology of Religion, 31, 319-333.
- Mavrakis, D. (2010). Les OVNI : Aspects psychiatriques, médico-psychologiques, sociologiques. Éditions Universitaires Européennes.
- Rosenthal, R. (1998). Covert Communication in Classrooms, Clinics, and Courtrooms. Eye on Psi Chi. 3(1), 18-22.


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Fukushima : les conséquences environnementales 
By AFIS, on 20/03/2012 at 14:29.
par Henri Métivier - SPS n° 298, octobre 2011 Si l'aspect sanitaire pour Fukushima peut être considéré comme probablement assez faible, il n'en est rien pour l'agriculture et l'environnement. Grâce aux nombreuses études faites, tant en laboratoire que sur le terrain, l'accident de Tchernobyl a permis d'améliorer nos connaissances sur les conséquences environnementales d'un accident nucléaire grave et sur l'efficacité des contre-mesures. Les leçons tirées ont permis de mettre en place des protocoles (...) Articles
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À propos de la brève « Deux façons de servir la science » 
By AFIS, on 19/03/2012 at 18:56.
Dans notre numéro 299 (janvier 2012), Suzy Collin-Zahn commentait, dans la rubrique « Regards sur la science », le livre de Christian Magnan intitulé Le théorème du Jardin. Christian Magnan a souhaité réagir à cette analyse. Vous trouverez sa lettre ci-après ainsi que la réponse de Suzy Collin-Zahn. La réaction de Christian Magnan J'ai été choqué par l'article de Suzy Collin-Zahn paru dans le numéro de janvier 2012 de Science et pseudo-sciences (page 9). Se posant comme la gardienne du temple de (...) Dialogue avec nos lecteurs
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Épisode #151: Psychologie anomalistique (2 – Les explications cognitives) 
By Scepticisme Scientifique, on 18/03/2012 at 11:26.
L'Épisode #151: Psychologie anomalistique (2 – Les explications cognitives) du podcast "Scepticisme Scientifique - Le balado de la Science et de la Raison" est en ligne. Jean-Michel Abrassart y discute de la psychologie anomalistique (2e partie).




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